Quand on lit un texte de Marie Dilasser, on plonge dans une langue qui nous est familière, chaleureuse, directe, souvent ludique. De ses mots, elle traque une femme — Bernadette — dont elle fait le portrait, elle la fouille pour mettre à nu sa face…
mardi 28 mai 2013
Quand on lit un texte de Marie Dilasser, on plonge dans une langue qui nous est familière, chaleureuse, directe, souvent ludique. De ses mots, elle traque une femme — Bernadette — dont elle fait le portrait, elle la fouille pour mettre à nu sa face…